La Penfeld au coeur du plan relief

8 heures. Un peu tôt pour un dimanche...
Le jeu en valait-il la Penfell ?!

Le rosé du ciel et les croissants frais avaient achevé de réveiller nos sens. Les yeux écarquillés, nous accédons enfin au plan relief, et découvrons ce Brest d’autrefois...

Pour vous qui n’avez pas eu le loisirs de visiter l’expo de l’Abbaye de Daoulas, voici quelques photos...

Pour les autres, imaginez-vous autour de la maquette (aérée de sa cinquantaine de visiteurs), perché sur un escabeau, l’appareil photo à la main et la bandoulière autour du cou (à 3 m de hauteur, c’est plus prudent lorsque la tête flirte avec les projecteurs !).

Les deux heures qui nous étaient allouées furent tout juste suffisantes pour se débarrasser de nos préjugés et réaliser ce que fut le Brest d’autrefois...


Comment imaginer que l’actuelle gare était hors de Brest-même, et que au delà des remparts ne s’étendaient que des champs a perte de vue (et même du haut d’un escabeau !).

Au premier abord, on ne réalise pas l’étendue de la ville.

Après avoir re-situé chaque rue, chaque monument, on retrouve quelques repères (l’église Saint-Louis était a deux pas de la campagne). Et au delà de ces remparts, inutile de chercher Saint-Marc et Saint-Pierre...
 

Il n’y avait donc de vie qu’autour de la Penfeld, et je vous laisse y réfléchir...

Maïwenn,
en direct de Daoulas pour "Rue de Penfeld"

NB : Pour les lecteurs avides de dépaysement, vous trouverez d’autres maquettes intéressantes à la tour Tanguy, représentants les rives pleines de vie de la Penfeld d’avant-guerre.